Je vais sans doute noyer mon chagrin… mais quand même… c’est pas si mal !
Graphisme
Je ne sais pas si j’ai aimé plus sa personnalité ou son projet ou ses photos… Arte propose un documentaire de Selina Miles à revoir sur arte.tv. Je vous invite à découvrir son travail.
donc c’est pourquoi j’y participe quand mon temps me le permet et cette année le thème sur l’humour m’a bien plu donc j’ai foncé avec ces trois idées
J’ai beau être installée en tant que graphiste freelance sur Toulouse depuis 12 ans, je peux vous avouer que j’ai mon véritable logo depuis 2 ans à peine…
En effet, j’ai cherché quelques années mon identité visuelle puis je suis tombée d’amour devant cette boule de poil !
Comme une graphiste freelance qui cherche à se donner du baume en cœur en cette période disons le merdique, j’ai trouvé cet artiste NewYorkais Jeremyville qui m’a redonné le sourire avec sa légèreté et son trait enfantin. Je vous laisse apprécier.
En cette période compliquée de confinement, en tant que graphiste freelance je dois rester en veille permanente et demeurer créative.
Bruyant de son sens de l’humour contagieux, le photographe Stephen McMennamy provoque un tourbillon d’humour dans l’art en combinant deux photos entièrement séparées de contraste drastique pour créer des situations incroyablement drôles, y compris le transfert de cônes de glace en capes de montagne enneigées.
Le Mas des Canelles, lieu événementiel toulousain géré par Miharu, accueille des expos permanentes d’artistes Les dernières oeuvres Pop Art de la Artopic Gallery exposées sont à tomber ! Elles décorent fièrement notre belle salle Canal !
Molomolo ressort pour cette exposition, les œuvres de sa toute première exposition présentée à Toulouse. Un travail réalisé aux feutres et marqueurs sur papier glacé inspiré des encres japonaises parodiant des représentations de notre symbolique ,comme les pubs ou des billets de banque.
Elle appelle cela de l’art surréaliste conceptuel et je ne vais pas le prendre contre elle. Il utilise des associations forcées et inattendues, brouille les frontières entre l’artistique et le quotidien, la couleur étant toujours un facteur fondamental. Cela m’étonne que ce qui semble irréel ne l’est pas. La réalité semble une fiction si parfaite et je pense que c’est le défi que Marion Toy pose en quelque sorte.